Dans le cadre de sa campagne pour les élections municipales qui se dérouleront les 23 et 30 mars prochains, Tony Campanella, qui mène la liste d'union de la gauche Pour Mourenx continuons à agir, a présenté les thèmes qu'il qualifie de prioritaires pour la ville et ses habitants.
Tout d'abord, en fil rouge de l'action intercommunale et municipale, l'emploi et le développement économique. « Nous pouvons nous féliciter de l'action des pouvoirs publics dans la reconversion du bassin de Lacq, aujourd'hui citée en exemple », déclare-t-il et ajoutant que « c'est grâce à une politique volontariste que l'industrie s'est maintenue à 8 000 emplois depuis vingt ans ».
Tony Campanella insiste pourtant sur le trop grand nombre de chômeurs, jeunes et moins jeunes. «C'est inacceptable ! Nous ferons de la lutte contre le chômage notre combat permanent, nous savons pouvoir compter sur le soutien précieux de notre député David Habib.»
Redynamiser le centre-ville
Plusieurs engagements sont pris par le candidat en ce qui concerne le développement économique, notamment amplifier la politique d'aménagement de zones d'activités, poursuivre l'accompagnement financier des projets de développement créateur d'emploi, faciliter les démarches administratives des entreprises. « Chaque jour, nous exigerons que les emplois que nous aidons bénéficient également aux Mourenxois et notamment aux jeunes. »
En ce qui concerne l'emploi et la création d'entreprises, il s'engage à créer une coopérative d'activité et d'emploi (CAE), une nouvelle pépinière d'entreprises, trois postes de contrat d'avenir à la mairie, poursuivre le soutien des structures favorisant l'emploi, créer une plate-forme d'accompagnement des mutations économiques, et pour finir l'augmentation des moyens du Pôle emploi de Mourenx.
Le second point qui sera développé est la redynamisation du centre-ville, du commerce et de l'artisanat. « Nous proposons la mise en place d'un véritable pacte de développement du commerce de proximité et de l'artisanat 2014-2020. » Tony Campanella, présentera le pacte aux commerçants, aux artisans, aux structures collectives, comme l'Office de commerce et d'artisanat (OCA), mais également aux chambres consulaires.
Sud-Ouest - 11 mars 2014












